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Arzhel Puillandre, entre tradition et ambition

Arzhel Puillandre est un lutteur expérimenté licencié au skol Gwipavas (Guipavas, 29). Investi et passionné, on le retrouve très régulièrement au bord des pallennoù et des lices de sciure. Attiré par les échanges internationaux, il a déjà une sacrée expérience malgré ses 25 ans. 

 

Quand as-tu commencé le Gouren, et comment ? Pratiques-tu d'autres sports ?

J’ai commencé le gouren il y a 20 ans à Guipavas. Mon père a fait du gouren quand il était plus jeune et mon parrain, Erwan Puillandre, luttait également (et il lutte toujours !), donc je suis tombé dedans et je n’ai jamais arrêté. Plus jeune, j’ai pratiqué différents sports sur de courtes périodes en parallèle du gouren : du foot, du VTT, du badminton. Plus récemment, j’ai fait du judo lors de mes études à Nantes ainsi que de la force athlétique. J'ai pratiqué différents sports sur de courtes périodes en parallèle du gouren : du foot, du VTT, du badminton. Plus récemment, j’ai fait du judo lors de mes études à Nantes ainsi que de la force athlétique. 

Monterfil 2025 53 

vignette arzhel

Comment s'est passé le tournoi ? Étais-tu stressé ? Est-ce que tu t'attendais à gagner ?

Depuis que je lutte en catégorie adulte l’été, mon objectif est de gagner un mouton. Ce jour-là, j'ai gagné le tournoi et mon premier maout, donc je ne peux que dire que le tournoi s’est très bien passé. Je n’étais pas particulièrement stressé, juste l’excitation et l'adrénaline qui m'accompagnent avant chaque compétition. L’ambiance des compétitions d’été est beaucoup plus détendue, le piège serait de ne pas ressentir cette adrénaline et donc de ne pas être à fond au moment de lutter.

J’y allais pour gagner mais je savais que c’était loin d’être gagné d’avance. Les résultats de mes dernières compétitions étaient assez mitigés, je savais que j’en étais capable mais il fallait que je me le prouve à moi-même.

Tu t'es rendu en Sardaigne en août, afin de participer à un tournoi de S'istrumpa. 

Était-ce la première fois que tu t'y rendais ? Pourquoi as-tu voulu y aller ?

 Je m’étais rendu en Sardaigne en 2023 déjà, avec quasiment la même équipe. C’était un voyage exceptionnel, je voulais y retourner pour retrouver les personnes rencontrées là-bas et revivre ces moments incroyables. Aussi, d’un point de vue plus sportif, j’avais perdu dès le premier tour en 2023, je voulais donc faire mieux cette année, malheureusement le scénario s’est répété, je vais donc devoir y retourner.

 Est-ce que ça t'a plu ? Est-ce qu'il y a des choses qui t'ont surprise ? Qu'as-tu préféré pendant le séjour ?

 Comme chaque séjour à l’étranger, j’ai adoré et j’en garde de très beaux souvenirs. Les Sardes ont un sens de l’hospitalité admirable. Malgré la barrière de la langue, j’ai passé de très bons moments avec les locaux. L'entente avec les lutteurs étrangers a été excellente. C’est ce que j’ai préféré pendant le séjour, les échanges avec toutes ces personnes, qu’on découvre un peu plus à chaque rencontre et avec qui on crée de vraies amitiés.

 Ce n'était pas la première fois que tu participais à un échange international, puisque tu avais été sélectionné en équipe de Bretagne pour les championnats d'Europe Espoir à Penrith, en 2018, et que tu as déjà pris part à des déplacements en Écosse et en Islande. J'en conclus que tu aimes ça.

Si tu pouvais organiser « l'échange international de tes rêves », à quoi ressemblerait-il ? Voudrais-tu t’investir à l’international ?

Comme mentionné, j’ai eu l’occasion de participer à différents échanges internationaux, en Écosse, en Angleterre, en Islande et en Sardaigne. C’est de ces voyages que je garde les plus beaux souvenirs de lutte. J’aime beaucoup rencontrer et échanger avec  des personnes qui ont la même passion de la lutte. Difficile de décrire mon “échange de rêve”, chaque échange a ses spécificités qui le rend unique.

vignette arzhel

Pour un “échange de rêve”, la compétition doit être au centre mais ne doit pas être l’unique objectif. Il faudrait, autour de la compétition, des activités et des entraînements pour partager des moments sans être adversaire. Je trouve aussi qu’organiser des rencontres avec un nombre limité de lutteurs par délégation permet de plus s’ouvrir aux autres et favorise les échanges. Je connais de plus en plus de monde dans les différents pays membres de la Fédération internationale Des Luttes Celtiques donc à l'avenir pourquoi pas m’investir à l’international.

As-tu des objectifs à venir pour la saison prochaine ?

Mon objectif est de gagner les internationaux de Back-Hold (NDLR : le 21 février 2026 à Pontivy) et de nouveau un mouton. Si des compétitions internationales s’ajoutent au calendrier, j'aimerais y participer et viser la victoire.

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